Café William à la rescousse de notre planète bleue

Aujourd’hui, nous avons envie de vous raconter une histoire inspirante dans laquelle l'entrepreneuriat et l’écologie ne font qu’un. Café William, ça vous dit quelque chose? Peut-être l’avez-vous croisé un samedi matin dans un rayon de votre Costco? Étant la marque québécoise de grains de café biologique et équitable la plus vendue au Québec, il n’est pas rare de repérer un sac de Café William vérifié Aliments préparés au Québec chez son épicier, et ce, pour notre plus grand plaisir.

Ceci étant dit, revenons à nos grains de café écolo. Depuis ses débuts, Café William prône plusieurs valeurs dont le développement durable, l’innovation, sans oublier, la responsabilité sociale. Concrètement, comment ces valeurs se transposent-elles dans leurs actions quotidiennes? Excellente question. C’est justement ce que nous avons envie d’explorer avec vous aujourd’hui.

Les déchets des uns font le bonheur des autres

Et si on jasait économie circulaire et symbiose industrielle un brin. Bien qu’à première vue ces deux concepts semblent complexes et abstraits, ils sont, au contraire, plutôt simples et très bénéfiques pour notre chère planète. Pour illustrer le tout, prenons un exemple concret, celui de Café William.

D’un côté, nous avons un torréfacteur qui importe au Québec ses grains de café dans des poches de jute, ce qui par la bande engendre des dizaines de tonnes de jute envoyées dans des sites d’enfouissement chaque année. De l’autre côté, nous avons une pépinière, ArborInnov (pour ne pas la nommer), qui doit s’approvisionner annuellement en jute pour favoriser la croissance de ses jeunes arbres. Voyez-vous la suite logique ici? Pourquoi ne pas transformer les déchets d’une entreprise en matière première pour l’autre? C’est exactement ce qu’ils ont fait.

Et ce n’est pas tout. Un troisième joueur s’est joint à cette collaboration zéro déchet. Entosystem, qui fait l’élevage d’insectes, désirait aussi sa part du gâteau des matières résiduelles organiques de Café William. Lors de la torréfaction du café, une petite pellicule argentée se détache du grain, ce qui crée évidemment un résidu supplémentaire. À nouveau, ce résidu est utilisé à bon escient puisqu’il est transformé en « gruau » pour les larves dans le but de créer un habitat où il fait bon vivre, rien de moins!

 

L’impact de la symbiose industrielle

Grâce à cette initiative innovante, Synergie Estrie estime que la première année de cet échange a permis d’éviter 73 tonnes de gaz à effet de serre (GES), de détourner 30 tonnes de jute de l’enfouissement et d’éviter la production de 30 tonnes de matière vierge. Concernant les larves, Synergie Estie calcule que cette autre initiative a permis d’éviter l’émission 20 tonnes de GES et l’enfouissement de 25 tonnes de résidus de café. Parce qu’une image vaut mille mots. L’équivalent en GES évité pour les poches de jute revalorisées représente 60 vols aller-retour Montréal-Paris! Pour les pelures de café, on parle de l’équivalent de 170 000 km en ville en VUS. Ça mérite certainement une bonne main d’applaudissements!

 

 

Vous désirez en connaître davantage sur les actions vertes que Café William entreprend annuellement? Nous vous invitons à visiter leur FAQ au www.cafewilliamspartivento.com/faq. Des entreprises aussi innovantes, on en voudrait mille comme ça!

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